"Prendre de nouvelles actions pour le climat", c'est le but avoué du sommet de Paris sur le climat auquel a assisté le Président de la République Monsieur Ismael Omar Guelleh, en compagnie d'une cinquantaine des chefs d'états du monde entier.
Un sommet à l'initiative de la France et co-organisée par les Nations Unies et la Banque mondiale. Un sommet qui se déroule dans un contexte particulier, suite à la décision du Président américain Donald Trump de sortir des accords signés à Paris en 2015 sur le réchauffement climatique, à rebours de la communauté internationale pour qui le réchauffement climatique est devenu une inquiétude de premier plan.
Comme beaucoup de ses homologues, le Président de la République s'est déplacé dans la capitale française pour réaffirmer l'engagement de notre pays à la lutter contre le réchauffement climatique.
Il faut dire que l'engagement international du Président Guelleh est en totale adéquation avec l'objectif politique de mettre le pays au régime des énergies vertes a moyen terme.
la géothermie, le solaire ou encore l'éolienne constituent des formidables potentialités pour notre pays.
Mais comme pour beaucoup des pays du Sud, Djibouti est elle aussi confrontée au problème de financement : question qui était au cœur du sommet climatique de Paris.
En effet la communauté internationale entend accélérer la lutte contre le réchauffement climatique en étant plus pragmatique avec le financement des projets qui auront des impacts sur le réchauffement climatique.
L'alternative énergétique prônée par notre pays sera à coup sûr une contribution à l'exemple de ce colibri qui voulait éteindre l'incendie de forêt avec de l'eau puisée avec son petit bec.
"J’accomplis ma part "aurait répondu le colibri à ceux qui pensaient que son petit bec ne pouvait rien contre l'incendie.