Le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, continue de recevoir les télégrammes de félicitation de ses homologues musulmans lui souhaitant, à l’occasion de l’Aid Al Ada, des vœux de « succès et de réussite » et davantage de « bien-être, de progrès et de développement au Peuple djiboutien. »
Le Roi du Royaume de Jordanie, Sa Majesté Abdallah II est le dernier en date à avoir transmis un message en ce sens au Président Guelleh.
« Au nom du Peuple et du Gouvernement du Royaume de Jordanie et en mon nom personnel, j’adresse mes chaleureuses félicitations au Président et au Peuple djiboutien », a écrit le Roi jordanien dans le télégramme envoyé au Chef de l’Etat.
« Nous n’aurons de cesse d’œuvrer toujours au renforcement des liens, déjà privilégiés, d’amitié et de coopération entre nos deux pays et nos deux peuples », a également noté le souverain jordanien, réitérant ses « meilleurs vœux » au Président de la République et à l’ensemble du Peuple djiboutien.
Rappelons que le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, avait précédemment reçu, à l’occasion de l’Aid Al Ada, des messages similaires en provenance de ses homologues Chefs d’Etat et de Gouvernement de pays frères arabes et musulmans.
Le Roi du Royaume d’Arabie saoudite et Gardien des Deux Lieux Saints, Sa Majesté Salman Bin Abdoulaziz Al Saoud, le Prince Héritier du Royaume d’Arabie saoudite, Son Altesse Royal, Mahammed Bin Salman, l’Emir de l’Etat du Koweït, Cheick Nawaf Al Ahmad Al Jabber Al Sabah et le Prince Héritier de l’Etat du Koweït, Cheick Nawaf Al Ahmad Al Jabber Al Sabah, font, entre autres, partie des dirigeants à la tête de pays frères arabes et musulmans qui ont fait parvenir des télégrammes de félicitation au Président Ismail Omar Guelleh.
Il y a lieu d’indiquer que de son côté, à l’occasion de l’Aid Al Ada, le Chef de l’Etat a lui aussi adressé des télégrammes de félicitation à tous ses homologues musulmans.
Dans ces messages, le Président de la République a formé des vœux de « succès et de réussite » à ses homologues musulmans ainsi que « davantage de progrès et de prospérité » à leurs peuples respectifs.
Il avait également mis à profit ces télégrammes pour former « l’espoir d’une complémentarité encore plus efficiente entre la communauté musulmane et les autres composantes culturelles et religieuses du monde. »